Capitulo 4 Seguimos trabajando
 

Nous voila à nouveau afin de poursuivre l’histoire

Cet appel était tout simplement pour me me faire savoir qu’un curé…d’un village…vait reçu un message anonyme en disant qu’on avait monté un affaire de ventes de registres. Cette personne anonyme n’avait pas pris en considération que l’Église n’est pas sotte et n’allait pas prendre pour de l’argent comptant un message sans áuteur connu ou avec une fausse identité et, qui plus est, sans preuves a l’appui. Il était évident que quelqu’un voulait boicotter ce projet qui venait d’être lancé et dont il ne restait qu’à signer les “conditions”.

En fait ces agîssements avaient produit l’effet contraire du but recherché et, au lieu d’affaiblir le projet, ils l’ont renforcé.

Un jour j’ai reçu un appel de mon cher ami Ignacio pour me raconter un “petir secret”. Il savait de bonne source que le conseil directeur de l’UNESCO Valencia avait sur la table une proposition de prendre RRV sous ses auspices comme reconnaissance du travail que nous réalisions pour la préservation et conservation de la documentation historique de l’Église. Reconnaissant ainsi que dans ces livres parroissiaux était écrite l’histoire des familles, de la propre Église et des villages. Je ne vous dis pas la bouffée de satisfaction qui nous a inondé sachant qu’un organismo avec le prestige de l’UNESCO reconnaissait notre travail et ce bien au dela de notre imagination. Il ne s’est pas passé beaucoup de temps pour que je reçoive un autre appel de cet organismo en me faisant part de l’approbation de la part du conseil et que dans un court délais je recevrais une lette, le sceau et l’autorisation d’utiliser le logo. J’allaIs essayer de garder le secret jusqu’à l’anniversaire.

À ces dates nous avions déjà apporté trois ordinateurs qu’on avait réussi a obtenir à l’archive diocesain de Valence et qui seraient de grande aide aux chercheurs qui s’y rendaient, vu que les statistiques du nombre de visiteurs qui fréquentaient cet archive était assez conséquent.

Ma rélation avec Xavier Serra était de plus en plus proche, l’on passait de longs moments ensemble, et entre les réunions et le travail on se retrouvait souvent pour déjeûner avec Vicente et Rafael. J’ai comencé a mieux connaître Xavier plus comme personne que comme coéquipiers du projet et à la fin on était comme frère et soeur. Xavier est mon grand frère.

Xavier a la bougeotte, c’est “un culo de mal asiento” comme on dit en espagnol, il adore les aventures et il n’arrête pas. Plusieures fois dans l’année il part à la découverte du monde., toujours avec ses bottes et son sac à dos. Cette fois il allait faire une traversée des îles Canaries, La Grande Canarie, jusque la Martinique en voilier. Il a traversé l’Atlantique avec une coque de noix de 20 metres. Je n’arrivais pas a le croire. Si j’avais pû je serait partie avec les yeux fermés. Ma passion est la navigation, car j’ai été navigatrice et régatiste. Mais il y a un bout de temps de cela.

En meracontant par le menú la traversée, il m’a dit qu’il s’était acheté un localisateur et qu’il m’enverrai chaque jour un message à mon e-mail avec les coordonnées de sa situation. Il avait aussi la possibilité d’envoyer un SOS. C’est pourquoi à partir du 6 janvier de 2012 et au départ des Canaries je recevais ces messages avec la position du voilier que je plaçait en Google Earth. Aun mêmes dates et sur la même route il y avait une régate transatlantique et, comme moi, ils faisaient le suivi des participants, et ils plaçaient leurs coordonnées. Lors de son retour je lui ait donnée cette archive et ça lui a énormément plu. Désormais il a ce Google pour toutes ses excursions.

Cette traversée de Xavier avec ses amis avait duré 17 jours 5h:37m: 04s Les courseurs avaient fait des temps allant de 10 jours 01h:28m:11s jusque 22 jours 14h:00m:00s. Ils avaient fait un temps très honorable, et ce sans faire partie de la compétition.

Nous ici en terre ferme nous continuions notre travail comme d’habitude et à cette occasion Rafael et moi même on allait commencer à la Marina Baja quie appartient au diocèse d’Orihuela.

Un jour j’ai reçu un message qui m’a beaucoup surpris et m’a remplie d’espoir. Il s’agît d’un ami que j’ai toujours considéré comme tel et pour lequel j’ai eu de l’admiration mais dont la vie a séparé nos chemins. Un membre de cette association de laquelle je suis partie et qui me félicitait pour ce que nous avions accomplit à Orihuela et pour le travail qu’on y menait. Merci, mon ami! On ne sait jamais. La vie peut-être réunira à nouveau nos chemins.

J’étais habituée à fréquenter les curés de Valence et j’ai eue une agréable surprise. Ces curés d’Orihuela sont un peu plus proches, davantage impliqués, ils sont differents. En cette zone nous pouvions compter avec l’aide de Jacqueline qui un jour après l’autre et paroisse après paroisse a été à nos cotés, infatigable. La première paroisse où l’on est allés est Altea. Je suis tombée amoureuse de l’endroit, le village est merveilleux et nous y avons travaillé très bien. Trino, c’est comme ça que le curé s’appelle, est genial. Il est un curé moderne, qui vit avec la technologie et très voué à Caritas et à ses paroissiens. Nous y sommes allés plusieurs jours, parfois Rafael et moi seuls et nous mangions à une terrasse à la place de l’église avec Trino.

Les expériences vécues avec les curés ont été fantastiques. À Finestrat ils nous ont reçu les bras ouverts. Guillermo, le curé se déplace en moto et ils est très amusant. Il a averti la mairie de notre arrivée, le maire est venu nous saluer , ils nous ont réservé un plave de parking pour ma voiture et ils nous ont fait un interview. Guillermo nous a presenté la jeune femme restauratrice de libres qui travaille de manière altruiste dans le premier Quinque Libri de Sella. On a deéjeuné tous ensemble et c’est le curé qui nous a invités.

Dans une autre paroisse (dont je préfère ne pas dire le nom) cela a été incroyable. Le curé n’arrête pas de sourire,… il a le sourire permanent et un jour où nous sommes allés l’après-midi on a interrompu sa sieste. Quand Rafael et moi étios peu après à la sacristie, j’ai dit à Rafael: “Fais pas de bruit et écoute…!”. Le curé s’était allongé sur un des bancs de l’église et il était là en train de dormir avec un geste de béatitude…
À Tárbena, le curé nous parlait en chantonant; il aime chanter et il est très amusant. Après quelques kilomètres par une route de montagne, il s’est mis à rire et il a dit…”Attendez…, je crois que j’ai oublié la clé à Callosa et je ne sais pas comment allons nous pouvoir entrer à l’église. Et à moi de lui proposer des options pour pouvoir entrer mais toutes s’avéraient impossibles…À la fin c’était une de ses blagues…! Ha, ha, ha…, le méchant… !
Cette joie a été ternie peu de temps après car on s’est rendu compte que les caméras  que l’on avait donnaient des signes de fatigue et elles manquaient de définition. Pour les livres avec des textes en gros traits cela pouvait aller, mais quand les livres étaient grands, les caracteres était un peu clairs ou les traits fins, en agrandissant pour les lire … le contraste se perdait et on lisait avec difficulté.
Après cela, j’ai pris tout compte fait la décisión d’arrêter le travail tant qu’on n’avait trouvé une solution. J’ai consideré la possibilité de solliciter une subvention pour acheter un nouvel équipement et enfin…j’ai appelé mon souffre douleurs, Felipe.

J’ai raconté à Felipe le problème et l’idée que j’avais mais je ne savait pas où m’adresser, soit à la Diputation (équivalent de Conseil Départemental français NDT) , à la Generalitat (Conseil Régional) à la direction du Patrimoine…On était en train de traverser une crise nationale et il y avait beaucoup de coups de ciseaux budgetaires…ce serait très compliqué.

Je n’arrivais pas à m’y faire, maintenant que l’on avait les autorisations des diocèses et que j'avais signé des accords….on ne pouvait pas répondre evec une qualité acceptable.
Felipe m'a alors fait taire et m'a dit ces mots.
Mamen, veux-tu me laisser m'occuper du sujet?

Ma réponse était évidente: - Bien entendu je l'ai fait, et en tant que femme, j'ai commencé à le mitrailler avec les questions de comment, où, qui, quand etc…. Je connaissais Felipe et connaissais ses contacts mais… .. Quoi qu'il en soit, je devais juste me mordre la langue et attendre patiemment.

Au bout de deux mois, Felipe m'appelle et propose que nous nous retrouvions à Alicante pour manger ensemble et fêter mon anniversaire. Alors le 10 mai 2012, Rafael et moi sommes allés à Alicante et après une journée fantastique avec Felipe, il nous a invités à monter dans son bureau pour nous le montrer et c'est à ce moment-là, après que nous nous sommes installés, qu'il est apparu avec deux caméras. C'était mon cadeau d'anniversaire, deux Nikon D5100. Bien sûr, j'ai commencé par mes questions, cette fois je ne le forais pas mais je le soumettait à un interrogatoire en bonne et due forme.  C'est ainsi qu’on a découvert que Felipe avait acheté ces caméras de sa poche. "Ce type est fou" mais je l'adore.

Merci Felipe, nous t’aimons tous et nous t’aimons vraiment.

Eh bien, rien ne pouvait plus nous arrêter, nous avions déjà du nouveau matériel. J'ai appelé les curés de la paroisse et nous avons continué avec la zone de la "Marina" et j'ai proposé de refaire la numérisation de certains livres avec le nouvel équipement.

Nous avons poussée l’audace jusqu’à monter à Confrides et Beniardá, c'était beaucoup de travail, mais cela en valait la peine, car le trajet depuis ma maison était de presque 200 km aller-retour et la moitié correspondait à une route de montagne. C'était vraiment une "jabatada", un exploit. 30 livres en une journée et montage et démontage de tout le matériel. Mais oui, jamais je n'oublierai ce jour. Nous nous étions donné rendez-vous à 15h30 avec le sacristain de Beniardá et en ouvrant les portes de la paroisse…. je vois qu'il n'y a AUCUNE table avec laquelle travailler !..., je lui pose la question et il ne sait rien, il m'invite à le faire sur l'autel ou sur un banc d'église ... Nous regardons autour et voyons une grande table au fond de l'église dans un coin, nous décidons de la déplacer et ...Dieu, comme elle était lourde !!!!! Nous montons sur le côté de l'autel, forcés par l‘emplacement de la prise de courant car il n'y en a qu'une et elle est à l'intérieur de la sacristie. Nous avons finalement commencé et tout cela en regardant la montre car je devais arriver à temps pour la présentation du livre de Felipe à Xeresa à 20h00.

Finalement nous avons fini et à toute allure nous ramassons tout, chargeons la voiture, fermons l’église et allons chez le sacristain pour lui rendre la clé. Il sonnait les cloches de l'église et il était 19h00. Mais je suis arrivé, à 20h00, j'étais à la porte de la maison de la culture de Xeresa. Eh bien, une vrai championne. Hé, hé, pour mieux dire, une championne imbécile à 100%. Ce n'était pas ce jour-là, la présentation du livre était le vendredi suivant. Alors, j’ai proposée une bière à Rafael pour lui faire oublier la peur qu’il a eue sur la route de montagne de Confrides et voilà !

Et maintenant je vais vous parler de mon odyssée à Benidorm-

À Benidorm, nous avons la grande aide de Pedro de Villajoyosa

La paroisse de Benidorm se trouve dans le vieux quartier et tout est une zone piétonne, il y a une place qui est interdite de stationnement, même les mariages et les funérailles doivent demander une autorisation et ont droit à deux heures. J'ai demandé la permission de garer deux voitures toute la journée et cela nous a été accordé, ils étaient très gentils. J’avais regardé sur la carte comment se rendre à cette place et j’avait aussi le Tom-Tom GPS. En arrivant à Benidorm le Tom-Tom a commencé à dire des "âneries", nous étions irrémédiablement perdus. J’avais rendez-vous à une heure précise avec Pedro, qui nous attendait déjà à la paroisse et… j'ai reçu un appel de lui.


Mamen où es-tu?

Bof !!! Je suis en train de touner ici, je ne sais comment me rendre sur la place.
Une demi-heure plus tard on tournait toujours, demandant aux gens, à la police, aux chauffeurs de taxi et rien du tout, on revenait toujours au même endroit. Cela faisait déjà une heure et j'étais désespérée, alors j'ai dit à Rafael de s’arrêter devant une station de taxi.

Sors et dis au taxi d'aller devant et de me guider jusqu’à la place Une minute plus tard, nous déchargions le matériel. Le curé a pris grand soin de nous et nous a recommandé de manger un restaurant sur la place de l'église, c'est comme un balcon sur la mer, nous avons très bien mangé, je me suis même amusé à nourrir une mouette de ma propre main, elle mangeait même du pain . C'était super, je l'ai appelée et elle est venue chercher la nourriture, très fûtée. Quand nous sommes allés payer, on nous a dit que nous étions invités par le curé.

Un paroissien nous a montré une œuvre d'art, de sa création, des miniatures d'églises romanes, une beauté. Une fois l’an, il tenait une exposition dans la paroisse et les fonds récoltés étaient destinés à aider l'Église.
Après quelques jours, Rafael et moi avons dû revenir à Benidorm, mais cette fois je ne me perdrais pas, quand j’étais arrivée à la périphérie de Benidorm, je me garais et appelais un taxi et je lui ai dit de m'emmener à la paroisse, et en finissant un autre taxi pour cherchez la voiture.

Le moment est alors arrivé de préparer le prochain anniversaire et cette fois ce serait à Játiva. Et ce serait une journée incroyable et très complète. Nous allions faire une exposition des lignées de Játiva, dans cette exposition les partenaires participeraient et avec la collaboration des recherches de Mariano Baldovi, directeur du Musée de Játiva.

Rafael et moi sommes allés voir les salles du musée et aussi faire une réservation pour une salle et comme Rafael le dit «à la première cuillerée, une mouche», il n'y avait AUCUNE salle disponible pour ces dates. Cela coïncidait avec la semaine de la femme et …… Ils nous ont proposé de faire l'exposition au CCX –Centre Culturel de Xátiva-, un très grand lieu, mais sans conditions pour une exposition et c'est aussi à la périphérie de la ville. Un autre problème est que la maison de la culture n'est ouverte que du lundi au vendredi et nous la voulions pour le samedi. Nous étions allés demander la salle plus de 3 mois à l'avance, mais il n'y avait toujours pas moyen.

Qu'allions-nous faire ???? Les associés et Mariano préparaient déjà les arbres pour l'exposition, nous avions déjà regardé le restaurant. Et de nouveau mon cher Ignacio Gironés est apparu. Il m'a mis en contact avec Paco Gironés, ancien secrétaire du maire et personnalité influente de Játiva, je ne sais pas comment il l'a fait, mais il a réussi. Ils m'ont appelé et m'ont dit d'aller voir la salle qui nous avait été attribuée et il est arrivé que c'était précisément celle que j'aimais. De plus, Pepe, le directeur de la maison de la culture, m'a donné des idées sur la façon de agencer l'exposition pour l’améliorer et il avait énormément raison, on pouvait voir son expérience. Et ce serait Pepe lui-même qui se chargerait de nous ouvrir les portes samedi pour que nous puissions voir l'exposition. Et au final le travail des partenaires a été exposé pendant plus d'un mois et pas seulement la semaine que nous avions demandée. Nous avons tous été surpris par le bon accueil et la intérêt que cela a suscité chez les visiteurs, beaucoup cherchaient leurs ancêtres parmi tous ces arbres généalogiques.

Pour cet anniversaire j'ai invité Xavier Serra « mi curita » ("mon petit curé") et il a été très désolé de ne pas pouvoir venir, car il avait déjà un engagement à Madrid, cet engagement était pour ces mêmes dates et chaque année, alors je lui ai dit.- Eh bien, l'année où il vient tu n’échapperas pas.

Juan Ignacio, l'archiviste, avec la permission de D. Arturo, l'Abbé de la Collégiale , a fermé les archives aux chercheurs ce jour-là pour qu'il puisse être avec nous et nous accompagner lors de la visite. À la fin de la visite, il nous a invités à monter au clocher mais certains d'entre nous ont décliné l'invitation et se sont rendus sur la place du marché pour les attendre. J'ai reçu un appel de José Maria me disant.- Mamen prends-nous une photo ici dans le clocher… .. Je n'avais pas d'appareil photo et j'ai demandé à un membre de prendre une photo, nous étions à plus de 150 mètres…. Mais avec son appareil photo, il n'y avait aucun problème. La malchance a fait qu'à ce moment-là il y avait d'autres personnes dans le clocher et ce sont ces étrangers qui ont été capturés sur la photo pour la mémoire. Heh heh heh

En se promenant dans les rues de Játiva, Juan Ignacio s'est approché de moi et m'a directement proposé de numériser les archives de la collégiale de Játiva. Eh bien, c'était le bon début, il fallait juste regarder quand je pouvais consacrer quelques jours à travailler.
Une autre nouveauté que nous aurions à l'occasion de cet anniversaire est que nous compterions avec la compagnie de José Manuel Girones, directeur de l'UNESCO Valence, et il nous donnerait la lettre de parrainage, José Manuel a vraiment apprécié l'événement et est tombé amoureux de l'harmonie, du travail et etc… de RRV, il est devenu un pilier de RRV et assiste à tous les événements que nous organisons. Ainsi que des amis qui ne manquent jamais et qui voyagent depuis différentes provinces d'Espagne et de France.

Ici vous pouvez lire la chronique de cette journée et les photos.

https://www.raicesreinovalencia.com/index.php/es/eventos/jativa-2012

Le travail d'indexation ne s'est pas arrêté, chaque jour de plus en plus de partenaires voulaient collaborer pour agrandir et agrandir cette base de données. J'ai dit que j'avais Rafael attaché au pied de la table d'ordinateur, et c'était comme ça. J'étais en charge du web, des procédures, des mémos, des conversations, des demandes, du groupe, etc…. Mais le plus important était l'indexation, nous savions tous que la numérisation sans être indexée était de peu d'aide, donc Rafael est essentiel dans RRV. Il fait fonctionner la base de données.

Les messages malveillants ont recommencé à l’adresse descurés, les publications dans divers blogs nous accusant d'avoir monté une entreprise…. Ils étaient écrits avec de plus en plus de colère et mauvaise fois, il semblait qu'ils étaient en colère de ne pas pouvoir m'arrêter, l'Église et moi étions avions très clair à l’esprit que les attaques étaient pour moi, ils voulaient me retirer du projet

Mais nous n’avions notre tête à notre travail

Juan Ramón, enfin collabore à nouveau avec nous, il avait été temporairement mis à la retraite pour des raisons personnelles.

Et le jour est venu de numériser la collégiale de Játiva. Nous avons eu beaucoup de chance, c'était 5 jours d'affilée et à Játiva il ne faisait pas la chaleur habituelle, nous n'avions pas de chaleur excessive. D'ailleurs, Juan Ignacio nous a beaucoup choyés, quand nous sommes arrivés, il avait déjà l'air conditionné, avec de l'eau fraîche…. Meilleure impossible. Nous avons eu le privilège d'avoir l'aide d'Ángel de Valence et Christian de France. Juan Ignacio nous a beaucoup aidés, car il était chargé de nous donner les livres et de garder une trace de ce qu'il restait à faire. Nous avons fait 61 livres sacramentels et 211 assiettes de Pâques.


À suivre…